mercredi 30 mars 2011

Adidas x Jeremy Scott



L'une des dernières créations de Jeremy Scott pour Adidas, la sneaker Flames inspirée des hot rods à l'américaine (ou du logo Hot Wheels, ça marche aussi)... Il fallait oser, Jeremy  l'a fait. ObyO JS Flames, Jeremy Scott pour Adidas Originals, 200€.

lundi 28 mars 2011

Marinières story

Comme nous vous l'annoncions dans notre précédent article, voici notre façon de revisiter la marinière... Un vêtement emblématique pour huit films cultes :





Ca fonctionne aussi avec les personnages Disney...




samedi 26 mars 2011

Nike x Colette : The Away Project

La marinière.


Rien qu’à l’évocation de ce vêtement mythique, les idées fusent… On pense évidemment à Jean-Paul Gaultier, qui a contribué à rendre désirable et emblématique un vêtement au départ fonctionnel et plus proche de la photo de vacances en Bretagne que des podiums…


Il y en a aujourd’hui pour tous les goûts : de l’authentique d’Armor Lux à la très épaulée de Balmain, en passant par la marinière-bijou vue chez Sandro et reprise par un nombre impressionnant de marques… elle est partout.


Alors oui, on vous l’accorde, parfois on frise l’overdose, mais heureusement, les créateurs ne sont pas à court d’idées pour réinventer ce basique. Qu’on se le dise, la marinière est un vêtement culte, un point c’est tout.


Tellement culte qu’elle inspire aujourd’hui le nouveau maillot de l’équipe de France de foot. La marinière sort donc de la sphère mode (bon, pas tout à fait, le cliché de présentation ayant été réalisé par Karl Lagerfeld…) pour devenir emblématique d’un pays tout entier.


Fidèle à sa réputation de chasseur de tendances, le concept store parisien Colette n’est pas passé à côté de l’événement… Il propose en effet, à partir de lundi prochain et jusqu’au 9 avril, une sélection de produits iconiques (sac pliage Longchamp, macarons Ladurée, stylo MontBlanc, entre autres…) habillés de rayures, aux côtés du fameux maillot.


Chanel | www.colette.com

Colorware | www.colette.com

Comme des Garçons | www.colette.com

Hermès | www.colette.com

Ladurée | www.colette.com


Longchamp | www.colette.com

MontBlanc | www.colette.com

Swatch | www.colette.com

Trousselier | www.colette.com

Yves Saint Laurent | www.colette.com


Nike | www.colette.com


Si vous rêvez de vous procurer l’une de ces créations exclusives, rendez-vous donc chez Colette à partir du 28 mars ou sur le e-shop du magasin.

Le buzz autour de ce maillot marinière ne nous avait pas non plus échappé… En effet, nous sommes depuis quelques jours en train de travailler sur différentes réinterprétations de cette pièce cultissime… Rendez-vous lundi pour les découvrir !


Colette
213, rue Saint-Honoré
75001 Paris

jeudi 24 mars 2011

Miss Van

C’est en suivant ses amis graffeurs au début des années 90 que la toulousaine Miss Van a commencé à poser son empreinte dans les rues, pour devenir la figure incontournable du street art que l’on connaît aujourd’hui.


Utilisant la peinture acrylique, une technique alors inédite dans l’univers du graffiti, Miss Van débute en donnant vie à de petites poupées hautes en couleur, qu’elle traite comme des autoportaits, et qui deviendront sa signature. Attirée par l’interdit, Miss Van trouve dans le street art un mode d’expression alternatif lui permettant de s’affranchir de la censure et de rendre l’art plus accessible.


Ses premières réalisations, évoquant un univers enfantin et festif, se muent rapidement en créatures sexy et provocantes.  Miss Van aime faire réagir, quitte à déranger, et souhaite simplement que ses œuvres permettent aux gens d’oublier leur vie quotidienne l’espace d’un instant…



Source : www.missvan.com



Après de nombreux voyages et 3 ans d’absence en France, Miss Van revient sur la scène de son pays d’origine au travers de l’exposition Twinkles, à la galerie Magda Danysz. En amoureux du street art, nous ne pouvions pas manquer l’événement. Et là, surprise : l’expo s’ouvre sur des toiles travaillées en clair obscur, à la manière des grands maîtres de la Renaissance. Les poupées emblématiques de la Miss sont toujours là, mais elles revêtent désormais une dimension plus sobre et plus glamour, sans rien perdre de leur érotisme. L’univers de Miss Van a évolué et son œuvre prend un nouveau tournant… Enjoy !


Miss Van, Twinkles, 2010 | Courtesy galerie Magda Danysz

Miss Van, Twinkles, 2010 | Courtesy galerie Magda Danysz

Miss Van, Twinkles, 2010 | Courtesy galerie Magda Danysz

Miss Van, Twinkles, 2010 | Courtesy galerie Magda Danysz

Miss Van, Twinkles, 2010 | Courtesy galerie Magda Danysz

Miss Van, Twinkles, 2010 | Courtesy galerie Magda Danysz

Miss Van, Twinkles, 2010 | Courtesy galerie Magda Danysz

Miss Van, Twinkles, 2010 | Courtesy galerie Magda Danysz

Miss Van, Twinkles, 2010 | Courtesy galerie Magda Danysz


Miss Van, Twinkles, 2010 | Courtesy galerie Magda Danysz


L’exposition dure jusqu’au 30 avril 2011 à la galerie Magda Danysz, qui accueillera par la suite d’autres artistes de la culture street. Il y a fort à parier que nous serons de nouveau dans les parages pour vous en parler…


En attendant, si vous êtes, comme nous, fans de street art, vous pouvez d’ores et déjà vous faire plaisir sur la boutique en ligne de la galerie, MD Editions. Sérigraphies, ouvrages et objets en tout genre créés par des street artists y sont proposés à des prix très accessibles. Découvrez la boutique ici  



Exposition Twinkles de Miss Van
Galerie Magda Danysz
78, rue Amelot – Paris 11


Retrouvez tout l’univers de Miss Van sur son site officiel www.missvan.com
 

dimanche 20 mars 2011

3ème sexe

Non on ne va pas vous parler de la chanson d’Indochine…enfin, un peu, si… Souvenez-vous de la publicité pour le parfum MaDame de Jean-Paul Gaultier, qui mettait à l’honneur l’androgynie du top Agyness Deyn, sur une reprise de cette fameuse chanson…


« Une fille au masculin » bon, jusque là, rien de très nouveau… En effet, le phénomène des tops androgynes prend de l’ampleur depuis plusieurs années, avec comme figures emblématiques Agyness Deyn, Freja Beha ou encore Stella Tennant.






La tendance perdure sur les derniers défilés, notamment chez Paul Smith, qui a fait appel aux très garçonnes Nina Porter et Akuol de Mabior…






Et que dire de l'énigmatique Grace Jones, dont l'androgynie sculpturale captivait déjà dans les années 80...



La mode s’amuse donc depuis longtemps à brouiller les cartes et à jouer l’atout du mélange des genres. Mais, ces dernières saisons, c’est du côté des hommes qu’on fait encore plus fort. Andrej Pejic, mannequin australien d’origine serbo-croate, a créé l’événement au mois de janvier en défilant pour la ligne couture de Jean-Paul Gaultier. Et oui, la mariée du final, c’était lui…




Ni travestis, ni transsexuels, ces hommes à la beauté ambiguë peuvent se permettre de mettre en scène la mode masculine comme féminine avec autant d’aisance. Ce phénomène crée un tel buzz que ces « garçons au féminin » (les médias les baptisent d’ailleurs femimen) risquent bien de faire des émules sur les podiums. James Varley et Martin Cohn sont deux autres exemples représentatifs de cette nouvelle beauté unisexe.





























Il y a fort à parier que le phénomène femimen va prendre de l’ampleur, et peut être sortir du cadre des défilés, en influençant le vêtement lui-même, étendant le concept de collections véritablement unisexe. Reste une question : les femmes pourront-elles facilement s'identifier à ces hommes lorsqu'ils représentent la mode féminine? On vous l'accorde, ce n'est pas si simple…


Du côté masculin, les femimen pourraient, qui sait, peut-être encourager ces messieurs à davantage assumer leur part de féminité… On rêve un peu là ? Pour en avoir le cœur net, on a demandé son avis à P., l’homme de notre trio…


P. estime que c’est un juste retour des choses, que les hommes androgynes ont enfin la possibilité d’être reconnus, comme les femmes ayant, en leur temps, osé adopter le pantalon. Il salue le courage de ces hommes qui ont choisi de jouer de leur ambiguïté, ignorant les personnes qui pourraient trouver cela choquant.


Il nous rappelle aussi que l’esthétique femimen n’est pas nouvelle, citant pour exemple Brian Molko du groupe Placebo, ou encore Indochine et, en remontant plus loin, les icônes de la new wave des années 80 ou du rock des années 70.


Et conclut que « dans ce monde où les femmes prennent de plus en plus d’importance, les hommes font aussi leur révolution en s’habillant comme elles ».



L’homme serait-il finalement une femme comme les autres ?



mercredi 16 mars 2011

The Style of Music

Il y a quelques semaines, notre amie Mamzelle Sryl nous présentait sur son blog le travail du collectif Moxy Creative House, baptisé « Ensemble – The style of Music ». En 2 mots, un projet d’illustration reprenant les tenues phares d’artistes tels Jimi Hendrix ou Pharrell Williams, en passant par le King Elvis. Le résultat ? Une série d’illustrations déclinées en posters, en séries limitées à 250 exemplaires.

Une idée simple mais efficace… Il n’en fallait pas plus pour qu’on adhère. Mais, comme le faisait remarquer Mamzelle Sryl, « on attend la même chose pour les icônes féminines »… Et nous, on n’a pas eu envie d’attendre. Ainsi est née l’idée d’une collaboration entre Mamzelle Sryl et 3 sights, pour décliner l’idée de Moxy Creative en version ladies…


+ MAMZELLE SRYL +









+ 3 SIGHTS +












Merci à Mamzelle Sryl de nous avoir fait partager ce projet, ne manquez pas de découvrir les autres travaux du collectif Moxy Creative ici.